1ère fois

Le 04 aout 1998 que je n'évoque pas dans cet arrangement de « Tous les cris, les S.O.S », je m'étais déjà raccroché à la vie, pourtant je n'avais vraiment aucune raison de le faire, comme précisé dans cette dernière : "Contre le passé, il y a rien à faire" !
Je tiens à rajouter que ceci aurait vraiment été la plus belle fin, exactement comme dans la plupart des films... C'est TERRIBLE que ce ne soit pas arrivé, je vous laisse regarder les 2 autres fois pour mieux comprendre et surtout ce que je continue de SUBIR !

Sans même faire plus d'investigation pour ce casque, j'imagine que j'avais 1 chance sur 2 de mourir et 3 chances sur 4 d'avoir au moins un HANDICAP VISIBLE

Pour résumer cette terrible chute, en fait d'après l'unique témoin, je m'étais d'abord déséquilibré lors de l'impulsion à cause de ma roue avant qui s'était desserrée, puis ma figure percutait violemment un arbre et pour finir mon menton percutait le sol !
Comment j'avais pu SIMPLEMENT TOMBER DANS LES POMMES

J'avais subi deux chocs cérébraux sévères (un oedème à gauche et un frontal) et j'étais transféré aux urgences de Sallanches par hélicoptère...
Arrivé aux urgences, j'avais un score de Glasgow de 4/15 ainsi qu'un caillot de sang qui bloquait la ventilation, le personnel hospitalier pensait que je ne respirais plus et voulait donc tout couper... Ceci aurait été finalement plus porter assistance à PERSONNE EN DANGER, je trouve et je le signalais bien entendu durant la suite et fin de la rééducation sans aide.

Reprenons, l'histoire, c'est ma mère infirmiè,re arrivé en urgence qui demandait mon transfert au HUG (Hoptial Universitaire de Genève) qui me soignait et me refaisais marcher.
Un jour ayant marre de me trouver attaché au lit, pour un rdv de ? j'en profitais pour m'évader ni vu, ni connu... Ne m'étant présenter à ce dernier, tout l'hopital était en était d'urgence, comme la ville et j'allais naturellement vers un policier demander pour retourner aux Carroz.

Après cet incident et l'assurance mettant un terme pour la prise en charge, je partais avec ma mère en Alsace chez les parents de mon père adoptif pour commencer la rééducation.
Les souvenirs refaisant surface, un très vieux et horrible revenait avec cette info à ce meilleur copain... Je finissais par en parler &ageave; ma mère et mon pè:re (par procuration) imaginant qu'ils finiraient par l'entendre.
Ensuite ou avant, j'avais cette première vu ultra rapide de points noirs net et raperoché au retour d'une promenade sur la Lo à Uffholtz... Je pensais de suite, c'est quoi, hélas je ne pensais en parler à ma mère et médecins, vu que unique fois et je voulais les revoir pour confirmer.

oups oublie lien de cet exemple

En tout cas, pour JUSTE m'évanouir avec un choc contre l'arbre si important, c'était déjà un PARADOXE et le plus surprenant, je n'avais pas bougé, c'est bien pour cela que je ne sais vraiment pas si j'étais INCONSCIENT ou si mon SUBCONSCIENT prenait la main...

Les souvenirs n'étant revenus dans l'ordre, j'avais mal noté le résumé, en répétant certaines choses plusieurs fois.
Le 7 avril, je débutais ces changements nécessaires sans pouvoir totalement finir... Pi, Free qui bloquait le FTP ce matin du 8, m'a bien perturbé, c'est un peu à cause de cela que je suis passé sur ce domaine avec l'album final complet maintenant !
Ayant oublié mes lunettes et un nouveau tour au foyer Saint-Georges, je ne peux faire plus...

J'avais d'ailleurs évoqué ces deux points pendant la suite et fin de ma rééducation, mais on me parlait d'une tétanisation... J'avais franchement du mal à le croire, surtout que si j'avais été tétanisé je n'aurais jamais lâché le guidon si simplement et je serais passé par dessus en faisant un soleil ou un mouvement équivalent !

Il y a aussi le passage d'un arrangement trouvé beaucoup plus tard, en 2016 malheureusement qui décrit parfaitement ce qui s'était passé « C'était l'hiver » de Francis Cabrel avec : "IL PENSAIT : je ne continue plus, ce qui m'attends, je l'ai déjà VÉCU, c'est plus la peine..."
Je ne comprends vraiment pas pourquoi je n'avais pas remarqué plus vite, bien après ces chansons de Daniel, alors que cette dernière se rapproche beaucoup plus avec PENSER, puis après où je le DISAIS bien surtout !
Quand j'évoquais ce désir de mettre fin à mes jours, je n'étais pas pris au sérieux et il se passait exactement la même chose que ce passage du reportage sur l'association CIIVISE.

*	Important à signaler, c'est la toute dernière version toujours mieux (plus de référence religieuse, NI d'enterrement).

En tout cas, il est vraiment difficile de comprendre, comment je ne me suis pas fait le coup du lapin ou ne pas m'être étouffé à cause de ces dents arrachées (les incisives centrales et la latérale gauche inférieures)...

Après 3 semaines passés au HUG (Hôpital Universitaire de Genève), je partais faire de la rééducation en Alsace suite à une tentative d'évasion de ce dernier et l'assurance qui mettait fin de prendre en charge les frais d'hospitalisation.
Tout d'abord je demandais un appareil dentaire provisoire ayant honte des ces 3 dents manquantes, bon c'était de toute manière obligatoire pour ne pas avoir une déformation dentaire, par contre ceci engendrait un premier problème une mauvaise haleine.

Ensuite, lors d'une promenade j'apercevais une petite trace noire dans mon oeil droit, mais c'était bref et plus moyen de la revoir, je ne faisais donc pas attention.

Enfin, je faisais l'erreur de parler de ce très vieux et mauvais souvenir revenu pendant les vacances scolaires de cette fin d'année de 5ème à ma mère imaginant qu'elle finirait par l'entendre, vu que j'en avais parler à mon meilleur copain.
Passé ces séances de rééducation, je finissais par retourner chez moi et c'était à partir de ce moment là que je devenais TOTALEMENT DÉPRESSIF remarquant que je ne pouvais plus retrouver la vie d'avant cet accident.
Il me restait plus qu'une solution me suicider et je n'arrêtais pas de demander à ma mère pourquoi elle n'avait pas accepté qu'ils coupent les machines à Sallanches, plus cette chose cité plus haut concernant le déroulement de la chute.
Je faisais aussi la découverte de cet album des W.A.S.P « The Crimson Idol », par contre je ne sais plus du tout à partir de quand je découvrais cette fameuse dernière chanson « The Great Misconceptions Of Me » dans laquelle un passage évoque ce qui s'était passé depuis ce voyage scolaire.
Pour mettre fin à mes jours et mettre un terme à ce CHAUCHEMAR justement, c'était tout simple, il suffisait de sauter d'une falaise, hélas, je m'imaginais bien comment cela se déroulerait, c'était HORS DE QUESTION... N'arrivant plus à bien dormir une nuit d'avril ou mai j'allais carrément faire un long tour en vélo avec celui du 4 août réparé espérant de nouveau un coup du sort et cette fois aucune assistance.
Je prenais un chemin de folie pour commencer et je ne comprends pas comment je ne tombais pas... Le plus surprenant arrivait au croisement de Châtillon Sur Cluses où j'hésitais de continuer !
Autre chose importante que j'oubliais de préciser pour commencer bon, je ne me souviens plus du tout quand c'était, je prenais mon pistolet à bille que j'avais caché sous mon lit et je le chargeais de billes lourdes... Malheureusement encore après une longue hésitation je n'appuyais pas sur la gachette, je m'en veux trop.
Ensuite, j'apprenais qu'il y aurait une éclipse solaire totale durant l'été qui arrivait et qu'on irait la voir au meilleur endroit en Alsace, je voyais donc le moyen d'arrêter ce cauchemar, je l'attendais avec impatience.
Entre temps, le plus surprenant arrivait durant un soir d'été après l'apéro où une mouche nous embêtait et un ami l'avait coincé sous un verre en disant : "Là elle finira par s'éteindre"... Une fois coincé je voulais qu'une chose finir comme cette mouche, mais je ne voyais pas comment faire, en plus, je croyais que c'était qu'avec les mouches que cela fonctionnait !!!
Après ça, arrivait ce moment tant attendu l'éclipse, mais le jour venu je finissais par renoncer de la regarder sans lunettes de protections à la dernière minute m'imaginant que cela n'allait pas plus m'aider de devenir aveugle !

Faut dire que je ne me rendais pas compte de l'importance d'un tel geste, je ne pouvais pas savoir que je referai exactement les mêmes erreurs que plus jeune, même pire avec ces troubles mnésiques, enfin je ne savais pas non plus qu'il y avait moyen de demander l'euthanasie aussi, même si en France c'était et c'est toujours interdit et ma mère n'aurait pas acceptée de toute façon.
En rentrant je songeais plus qu'à une chose me pendre, mais je ne sais pourquoi je restais bloqué sur la corde et le noeud !
Une fois ces grandes vacances terminées, je reprenais le chemin du collège pour refaire cette année de 4ème sans même remarquer qu'il restait encore une autre terrible séquelle...
Suite et dernière info retiré et sera de nouveau proposé sur le nouveau site, bon il faudra que je reprenne la mise en page...

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Le H et le S n'aurait pas été nécessaire pour ce compte, comme vous pouvez maintenant le voir, je ne sais pourquoi je ne l'avais pas tout de suite vu !